Le Bénin a une superficie de 112622 km2 et 10,7 millions d’habitants. Sa capitale est Porto Novo et sa capitale économique, Cotonou. L’économie du pays est essentiellement agricole : 33% du PIB. La vallée de l’Ouéme est la 2ème vallée la plus fertile du monde. Le Bénin a eu son indépendance en 1960. À Banigbé, la ferme agroécologique « La Providence » développe l’agriculture médicinale, les cultures maraîchères et vivrières, l’agroforesterie, et l’élevage. Elle cherche à travailler la terre pour nourrir au mieux les populations locales, en respectant la nature grâce à des techniques d’agroécologie et de permaculture. Cette ferme prend en compte la biodiversité de chaque écosystème et promeut une production agricole durable. Elle est aussi une « Maison de l’Artemisia », lieu de culture, transformation, conditionnement, formation et promotion de cette plante qui aide à soigner le paludisme.
Se trouve aussi une école catholique Laudato Si qui propose une pédagogie ancrée dans le réel pour que les élèves deviennent des hommes et des femmes capables de raisonner, de s’adapter et de grandir en prenant en compte la Création qui les entoure. Les deux structures sont liées. Au programme classique d’enseignement, l’école dispense aux élèves des cours théoriques et pratiques d’agriculture. Les élèves de maternelle vont ainsi tous les matins prendre soin de leur petit potager et des animaux de la ferme pédagogique, les plus grands passent une heure par semaine à la ferme La Providence. Pierre dirige la ferme agroécologique et Emmanuelle rejoint l’équipe pédagogique de l’école Laudato Si.
Le Bénin a une superficie de 112622 km2 et 10,7 millions d’habitants. Sa capitale est Porto Novo et sa capitale économique, Cotonou. L’économie du pays est essentiellement agricole : 33% du PIB. La vallée de l’Ouéme est la 2ème vallée la plus fertile du monde. Le Bénin a eu son indépendance en 1960. À Banigbé, la ferme agroécologique « La Providence » développe l’agriculture médicinale, les cultures maraîchères et vivrières, l’agroforesterie, et l’élevage. Elle cherche à travailler la terre pour nourrir au mieux les populations locales, en respectant la nature grâce à des techniques d’agroécologie et de permaculture. Cette ferme prend en compte la biodiversité de chaque écosystème et promeut une production agricole durable. Elle est aussi une « Maison de l’Artemisia », lieu de culture, transformation, conditionnement, formation et promotion de cette plante qui aide à soigner le paludisme.
Se trouve aussi une école catholique Laudato Si qui propose une pédagogie ancrée dans le réel pour que les élèves deviennent des hommes et des femmes capables de raisonner, de s’adapter et de grandir en prenant en compte la Création qui les entoure. Les deux structures sont liées. Au programme classique d’enseignement, l’école dispense aux élèves des cours théoriques et pratiques d’agriculture. Les élèves de maternelle vont ainsi tous les matins prendre soin de leur petit potager et des animaux de la ferme pédagogique, les plus grands passent une heure par semaine à la ferme La Providence. Pierre dirige la ferme agroécologique et Emmanuelle rejoint l’équipe pédagogique de l’école Laudato Si.
Le Bénin a une superficie de 112622 km2 et 10,7 millions d’habitants. Sa capitale est Porto Novo et sa capitale économique, Cotonou. L’économie du pays est essentiellement agricole : 33% du PIB. La vallée de l’Ouéme est la 2ème vallée la plus fertile du monde. Le Bénin a eu son indépendance en 1960. À Banigbé, la ferme agroécologique « La Providence » développe l’agriculture médicinale, les cultures maraîchères et vivrières, l’agroforesterie, et l’élevage. Elle cherche à travailler la terre pour nourrir au mieux les populations locales, en respectant la nature grâce à des techniques d’agroécologie et de permaculture. Cette ferme prend en compte la biodiversité de chaque écosystème et promeut une production agricole durable. Elle est aussi une « Maison de l’Artemisia », lieu de culture, transformation, conditionnement, formation et promotion de cette plante qui aide à soigner le paludisme.
Se trouve aussi une école catholique Laudato Si qui propose une pédagogie ancrée dans le réel pour que les élèves deviennent des hommes et des femmes capables de raisonner, de s’adapter et de grandir en prenant en compte la Création qui les entoure. Les deux structures sont liées. Au programme classique d’enseignement, l’école dispense aux élèves des cours théoriques et pratiques d’agriculture. Les élèves de maternelle vont ainsi tous les matins prendre soin de leur petit potager et des animaux de la ferme pédagogique, les plus grands passent une heure par semaine à la ferme La Providence. Pierre dirige la ferme agroécologique et Emmanuelle rejoint l’équipe pédagogique de l’école Laudato Si.