

Dans cette courte vidéo et ci-dessous, trouvez des réponses pour faire avancer vos motivations, reculer vos doutes, faire évoluer vos idées reçues…
Parlons-en quand vous voulez.
Revoir l’idée reçue #5

Vous aussi partez en mission
« Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ? C’est une chose trop oubliée, dit le renard.
Ça signifie créer des liens…”
5 raisons d’avancer avec Fidesco !
- Les missions Fidesco sont variées. Elles peuvent durer 1 an, 2 ans voire 3. On en parle ?
- Fidesco n’intervient pas sur des situations d’urgence mais s’engage dans des actions de développement à long terme.
- Il faut du temps pour s’immerger dans une nouvelle culture, pour l’apprécier et tisser des liens de confiance.
- Vos repères changent. Pour être efficace et prendre en main votre mission professionnelle il faut plus de temps que dans un contexte familier.
- Et la mission ça passe vite…. trop vite.
et maintenant c’est à vous de jouer !
J’aimerais tellement mais… et vous, qu'est-ce qui vous bloque ?
Témoignage de volontaires
« Avant de partir nous nous disions (et on nous disait) « 2 ans, c’est looooong ! » Et maintenant que nous voyons le 1er anniversaire de notre arrivée se profiler, on se dit « 2 ans, c’est cooooourt ! ». C’est court pour entrer dans une culture, un pays, une histoire, c’est court pour tisser des liens, c’est court pour être efficace dans un poste ! Nous vous l’avions dit dans notre premier rapport : « nous voyons bien qu’il nous faudra beaucoup de temps pour comprendre ce pays (2 ans ne suffiront probablement pas). » Cette impression se confirme et nous sommes vraiment heureux d’avoir encore plus d’une année pour vivre ici, aimer ici, grandir ici, recevoir ici et peut-être donner un peu !”
Albéric et Charlotte – mission Bafoussam [Cameroun]
“Nous comprenons aujourd’hui pourquoi FIDESCO nous invite à partir deux ans. La première année est l’année de la découverte. Nous en prenons plein les yeux ; nous recevons beaucoup. La seconde année est l’année du don.”
Diane et Louis mission Santiago [Chili]
“Lorsque j’ai discuté avec mes parents de la possibilité de prolonger mon expérience ici, au Congo, j’étais assez désœuvrée. Je crois que j’étais déjà certaine que je resterais et c’est cette certitude qui me rendait un brin fragile et déboussolée. J’avais besoin que mes parents me rassurent. En même temps que je leur exposais mes projets, je me rendais compte de toutes ces petites choses sur lesquelles je faisais une croix. Je me souviens notamment que l’idée de rater le voyage à Venise que j’avais préparé pour l’anniversaire surprise de ma grand-mère me préoccupait. Mon père m’a dit et je me souviens encore bien de ses paroles : « C’est normal que tu te poses toutes ces questions. Si tu choisis de rester, tu vas forcément faire des petits sacrifices. La vraie question à se poser c’est : est-ce que tous ces sacrifices en valent la peine ? » Au fond de moi, je connaissais déjà la réponse. Et encore aujourd’hui elle n’a pas changé. Oui. Oui, oui, oui, oui. Mille fois oui. Ça en vaut la peine. Un an sans rentrer chez soi, ça peut paraître long. En douze mois, il s’en passe des choses. Le mariage d’un cousin, un week-end prévu entre copines à Berlin, des anniversaires en veux-tu en voilà, le Noël à Saint Malo avec une nouvelle arrivée dans la famille, des voyages à droite à gauche…Pourtant aucun regret ne m’habite. Je souhaiterais que vous soyez des petites souris à Bakanja pour pouvoir être témoins de la joie qui règne ici.”
Delphine- mission Lubumbashi [RDC]