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L’Echo Républicain : un jeune couple en VSI au Timor Oriental

Avec l'Echo Republicain, partagez les premiers mois de VSI d'un jeune couple au Timor Oriental !

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Avec l’Echo Républicain, partagez les premiers mois de découverte et d’émerveillement de Zoé et Pierre-Jean, jeune couple en volontariat (VSI) au service de l’Eglise catholique au Timor Oriental !

Article : Hélène Bonnet

 

Installés depuis trois mois dans la petite ville montagneuse de Lete Foho, au Timor oriental, l’un des pays les plus pauvres d’Asie du sud-est, Zoé et Pierre-Jean Gougis, enseignent l’informatique et la chimie dans une école paroissiale et rendent service aux habitants. Ces Euréliens, qui se sont connus au lycée Notre-Dame à Chartres, sont partis en mission pour deux ans avec l’organisation de solidarité internationale Fidesco, rattachée à la communauté de l’Emmanuel.

Qu’est ce qui vous a le plus surpris lors de votre arrivée au Timor ?

Nous avons fait face à un choc culturel. Nous avons complètement modifié notre mode de vie. Les priorités changent et surtout, au début, il y a la barrière de la langue. Dans notre village, très peu de personnes parlent anglais. Pour nous intégrer au mieux et donner des cours, il faut donc maîtriser la langue locale qui est le Tétun. Nous progressons petit à petit.

Dans quelles conditions vivez-vous ?

Nous sommes très chanceux, car nous vivons au sein de la paroisse. C’est un lieu central dans notre village, où il y a beaucoup de passage, d’animation et de joie. Mais c’est aussi un des rares endroits où il y a l’eau courante, même si en saison sèche, les coupures sont fréquentes. Nous avons aussi l’électricité, la plupart des foyers en sont dotés, mais ce n’est pas généralisé. Au quotidien, nous apprenons à changer nos habitudes. Nous nous lavons à l’aide d’une bassine et nous cuisinons ce que nous trouvons sur le marché. Nous allons à la capitale de temps en temps où nous pouvons acheter des fournitures au supermarché. La capitale se trouve à environ trois heures de 4×4. Les routes sont peu goudronnées. Nous circulons en montagne sur des chemins de terre.

Quelles missions assurez-vous ?

Sur le papier, notre mission principale est d’enseigner au lycée de la paroisse où il y a, depuis la rentrée, le 7 janvier 2019, sept classes avec presque 260 élèves. Le prêtre qui nous accueille est le directeur de cette école.

L’école fonctionne-t-elle comme les établissements scolaires français ?

L’école fonctionne très différemment. La pédagogie diffère avec principalement des apprentissages par du par coeur. Il n’existe pas de ressources en Tétun. Les manuels scolaires à leur disposition sont en portugais. Nos élèves ne maîtrisent pas assez bien le portugais pour le lire parfaitement. Nous devons traduire dans leur langue. Nous organisons aussi des extra-classes, les après-midi, car les élèves finissent les cours vers 13 h 30. Nous faisons de l’anglais, de l’informatique. Nous ouvrirons aussi une bibliothèque, qui n’est pas encore installée, mais nous travaillons sur le projet. Nous venons de réparer des machines à coudre données par une ONG il y a dix ans. Nous pourrons leur apprendre à s’en servir. Nous avons pleins d’idées.

Quel est votre rôle au sein de la paroisse qui vous accueille ?

Nous organisons des veillées de prières, et nous rendons service quand cela est nécessaire, surtout en matière d’informatique, car peu de gens pratiquent et rien n’est informatisé. Notre mission est de savoir nous rendre disponibles, accompagner les projets de l’école mais aussi fourmiller de propositions, même si elles n’aboutissent pas toutes.

Quels sont les moments ou les rencontres qui vous ont le plus marqués ?

La rencontre avec notre partenaire sur place a été très joyeuse et le lien qu’il y a entre nous permet de travailler dans de super conditions. Nous sommes heureux de l’accueil reçu. Les Timorais sont extrêmement chaleureux. Nous sommes invités à de nombreuses fêtes, à des mariages, des anniversaires, des enterrements et, à chaque fois, l’accueil est presque trop grandiose. Nous avons été invités à un mariage par le père de la mariée. Nous ne connaissions pas du tout les mariés mais nous avons déjeuné à la table d’honneur avec le prêtre et le chef du district. Nous étions considérablement gênés par tout cela mais c’est ainsi. Au Timor, les étrangers sont toujours extrêmement bien reçus.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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